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Vivre et travailler en indépendant

Bonjour,

Après analyse approfondi de pas mal d’éléments de mes expériences passées, du monde en cours et de mes envies de futur, il m’est apparu de manière très claire que je ne puis trouver mon bonheur et mon équilibre que si je continue de vivre et travailler en indépendant en mettant en œuvre toutes les compétences et toutes les vertus que j’ai œuvré à construire et à consolider.

Les personnes avec et pour lesquelles je travaille :

  • Obtiennent des évaluations (de ma part) au moins égales à 4/5 en matière d’attitude, de professionnalisme, de probité, etc.
  • Savent travailler. Elles savent donc écrire ce qui doit l’être sans perdre une minute ni laisser le temps au moindre doute de germer.
  • Prennent et tiennent des engagements mutuels. Si nécessaire et justifié, elles les adaptent ou renégocient.
  • Ne me font par perdre mon temps avec des belles paroles qui ne sont pas suivies d’écrits et, surtout, d’actes en parfait alignement avec leurs gazouillis.
  • Savent que je suis attentif au moindre détail et ne se risquent pas à chercher à m’annoncer des chiffres qu’elles changent ensuite.
  • N’essaient pas de m’embarquer dans des plans foireux.
  • Respectent mes qualités, mes compétences, et mes valeurs même si, bien des fois, elles ne sont pas réellement en mesure de les discerner.
  • Ne cherchent pas à m’imposer un modèle sans m’avoir au préalable objectivement prouvé que celui-ci propose des vertus supérieures à ce que je propose.
  • Ne m’encombrent pas avec leurs conditionnements et leurs croyances désuets.
  • N’ont pas la prétention de m’égaler ni de me dépasser sur bien des plans, et se contentent d’être ce qu’elles sont.
  • etc.

Les personnes avec et pour lesquelles je NE travaille PAS :

  • Sont désordonnées ou dérangées mentalement.
  • Ne respectent pas mes compétences et mes vertus.
  • Ne respectent pas mon travail.
  • etc.

Si j’estime que cela nuit à ma capacité à mener la mission, j’avertis et je pose des jalons au moins une fois par écrit.

Si je relance ou propose une seconde mise au point, ces personnes sont des privilégiées même si elles l’ignorent le plus souvent.

Si cela ne provoque pas de correction de la part des personnes concernées, je mets un terme à nos relations.

J’ai bien trop souvent été bien trop généreux, bien trop conciliant et bien trop patient avec bien trop de personnes.

Heureusement, j’ai grandi et mûri.

Et surtout, j’ai bien compris.

Au plaisir,

Marc JESTIN

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